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Divorcée depuis peu, elle se tape les deux frères…



J'ai attendu Marie pendant trente minutes. J'ai reçu un texto plus tard dans la soirée : "S'il te plait Isabelle ne m'en veut pas je suis grippée". Heureusement l'ambiance cosy du lounge bar m'a détendue... Après mon deuxième cocktail, je me fais aborder par un homme d'une trentaine d'années à l'allure sympa ; désireuse d'aller plus loin, je prends un réel plaisir à faire sa connaissance.

Agée de 34 ans et plutôt pas mal à ce qu'on raconte, je remarque que ce grand brun aux yeux marrons louche sur mon décolleté généreusement rempli, et mes cuisses rondes emballées dans de jolis bas ultra fins. De fil en aiguille, j'apprends que François est de passage à Neuchâtel pour y rencontrer son frère aîné et qu'ils ont rendez-vous ici même. Justement Claude, qui à dix ans de plus, aussi mignon que son frère d'ailleurs, nous rejoint autour de la table. S'ensuit une discussion agréable. Ils se ressemblent beaucoup, et rivalisent de charme pour me faire rire et m'épater. C'est étrange de dire cela mais ils me plaisent autant tous les deux. Je vois leurs visages s'éclairer quand j'avoue que je suis célibataire et fraîchement divorcée. Les questions deviennent plus pressantes et personnelles et j'y réponds assez franchement, me sentant libérée et sexy.

Depuis mon divorce, je n'ai pas eu une seule aventure en l'espace de sept mois. J'étais bloquée mais ce soir une petite voix me souffle de les suivre et de m'éclater et je vais lui obéir bien volontiers car j'ai envie de sexe, de caresses et de sperme. Ordinairement je fantasme sur le gang bang, alors là ce soir j’avoue que deux mecs à satisfaire sexuellement, c'est un bon début.


Claude habite deux rues plus loin et son frère et lui me proposent de les accompagner pour dîner. Le dîner n'est qu'un prétexte, leurs mines gourmandes et leurs œillades coquines paraissent évidentes. Dans l'appartement, les lumières tamisées et la musique douce me plonge dans une douce léthargie. Ils n'en faut pas plus aux deux frangins pour m'attaquer en douceur. Assise au fond d'un canapé moelleux je laisse le soin à l'aîné d'ôter mes escarpins pendant que François m'embrasse chaudement les lèvres. Les mains de son frère font rouler ma culotte de soie au bas de mes pieds. Je me dis intérieurement que c'est l'occasion ou jamais de m'éclater enfin ! Je réponds à leurs baisers avec passion et leurs regards allumés de désir en découvrant mon corps pulpeux et épanoui déclenche en moi une explosion de mouille.

Deux gros glands roses et tendus me caressent le visage, je me mets à les sucer, à les tester au fond de ma bouche, je me régale en léchant activement les deux simultanément. C'est tellement bon et ce n'est que le début. J'ignore lequel des deux enfonce ces doigts dans ma chatte mais c'est divin. Mes mamelons durcis sont malmenés et aspirés si fort que des gémissements de plaisir débordent de ma bouche. Je n'ai qu'une idée en tête : la double pénétration devant et derrière en même temps.

Le grand frère tourmente mon clito en feu en le léchant bruyamment, le petit frère se fait pomper encore et encore sous ma langue gourmande et assoiffée de jus. Je les laisse assouvir leurs besoins en les encourageant avec des mots crus...Ils n'en peuvent plus et leurs bites me le prouvent grandement lorsqu’elles se mettent à me tapoter la figure, la bouche, les fesses et la chatte.

François est le premier à me pénétrer le vagin. Je suis trempée de désir, ce qui facilite le passage du pénis en moi. Quelques coups de bite bien placés et me voilà en train de danser sur sa queue. C'est sans compter la participation de Claude qui vient tout naturellement se greffer étroitement contre mon dos avec l'intention de me sodomiser. Mes orifices dilatés, leur permettent de mes baisers jusqu'aux couilles, en s'enfonçant plusieurs fois dedans ensemble. Un plaisir impossible à décrire mais extra. Je bouge à peine, empalée sur une verge et enculée par l'autre, tentant de contenir en moi les deux qui parfois se frottent presque l'une à l'autre....Ils s'empêchent de jouir pour prolonger le plaisir de leurs bites se frottant aux parois fines de mes petits trous que je leur ai offert....Ce soir-là il faut bien le dire, chacun de nous à jouit comme jamais…



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